L'hiver c'est dur pour un pêcheur de rester à la maison Enfin quand je dis première ce n'est pas totalement vrai. Il y e...
L'hiver c'est dur pour un pêcheur de rester à la maison
Enfin quand je dis première ce n'est pas totalement vrai. Il y en a eu quelques-unes avant, mais qui n'ont rien donné, car avant tout c'était surtout pour aller prendre de l'air plutôt que de rester en quatre murs, en cette période hivernale . Aussi pour faire des repérages quant à d' éventuels nouveaux spots, surtout pour la Royale.
Aussi, autant aller pêcher même si on est bredouille
Et puis lorsque j'ai regardé la météo, je me suis dit que nous n'étions pas prêts de commencer à faire des belles pêches, que le bon moment est encore loin avec les dégradations qui arrivent, et qui en découragent plus d'un. Il fallait donc profiter de cette fenêtre, surtout après avoir été ramasser de l'arénicole prévu à cet effet.
Donc sans trop y croire, quoi que... la grande marée que je me suis dit. Et puis de toute manière c'était encore l'occasion de sortir, de prendre de l'air, de faire bouger ses jambes, et taper la discussion. On a donc décidé de nous rendre sur place, à environ 02h00 après le début de la marée montante. J'étais uniquement au vers, le collègue alternait entre pieds de couteau et couilloux (Mye des sables). Au début pas grande chose, à vrai dire, les quelques rares touches ont du démarrer trentes minutes plus tard. enfin pour moi, parce-que au total, sur 02h00 de pêche, j'ai du en totaliser presque une dizaine, alors que le collègue n' en comptait qu'une seule.
Finalement on a évité le capot
Ouais, le poisson ne voulait taper qu'au vers visiblement. le scion bougeait pas mal du fait du mouvement assez important des vagues, étant donné cette grande marée. Les touches n'étaient donc pas évidentes à observer. Et c'est ainsi que j'ai sorti le premier poisson. Une tape pas violente, avec l'idée en tête que le ferrage avait été foiré. Ben non puisque c'est un petit tacaud qui vint rendre visite. Un peu plus tard, des touches plus fortes, beaucoup plus importantes, mais bien rien de concret. Ah si, un super départ, pour au final, rater un autre poisson dont je ne saurai jamais ce que c'était. Et lorsque nous décidâmes de nous accorder encore 30 minutes de répit avant de reprendre la route, il aura fallu pas loin de cinq minutes pour taper le dernier poisson... le premier Bar de l'année, reparti grandir vu sa taille.
COMMENTAIRES